En janvier 2016, j'ai perdu ma fille. En mars 2017, je ne voyais plus grand sens à ma vie. Je ne pouvais plus travailler, surtout pas avec des enfants. Jusqu'alors j'avais été enseignante, directrice d'école puis principale-adjointe en collège. C'est à cette période que Marc, un membre actif du "Barzouges", le café associatif du village, est venu me voir. Depuis quelque temps
